QUI SOMMES NOUS ?

GRinsurance incarne avant tout le parcours atypique de son fondateur, Gérald Demeyer, entrepreneur français autodidacte.

Issu d’un milieu modeste, Gérald manifeste dès son jeune âge un intérêt profond pour l’entrepreneuriat.


En 2002, il lance
une innovation majeure dans le secteur dentaire en matière prévention, mais se heurte rapidement à une réalité très troublante d'un point de vue citoyen : le clientélisme politique en France.

Par nature discret, surtout depuis l'entrée en vigueur en 2017 de
la loi anti-corruption sapin 2, le copinage politique est cependant omniprésent sur le territoire national dans l’attribution d'autorisations administratives, de subventions, de marchés publics ... mais aussi pour faire barrage à des concurrents innovants. Une concurrence déloyale au profit d'entreprises soutenues par de puissants lobbys actifs dans tous les secteurs économiques, mais au détriment des nouveaux entrants indépendants sur un marché. Donc, au détriment des Français.

Ce clientélisme porte un nom : le
capitalisme de connivence qui est à l'origine d' une révolte des peuples partout dans le monde.

Fidèle à ses racines ouvrières, Gérald a toujours refusé de se compromettre dans des systèmes de connivence. Profondément convaincu que le clientélisme trahit avant tout les intérêts des classes populaires, il s’y oppose avec une détermination inébranlable, refusant ainsi d’être complice ou responsable, d'une quelconque manière, du bordel politique en France et du détricotage d'un bien commun du patrimoine des Français ... l' Assurance Maladie ... dont les transferts de charges, depuis la réforme de 2004, vers les complémentaires santé, montrent à quel point le peuple français sera toujours le grand perdant de la politique des vases communicants entre l'Assurance Maladie et les assureurs, puisqu'au final, ce sont toujours les (assurés) Français qui paient la facture (cf. un exemple d'un nouveau transfert de 500 millions € par an dans le secteur dentaire)

Sans parler du fait que la corruption de gestionnaires publics (élus ou agents publics) demeure illégale, comme le rappelle régulièrement l'
Agence Française Anticorruption (AFA) à tous les citoyens, des adultes jusqu’ aux enfants.

Pour Gérald, l’intégrité repose sur une défense sans compromis des valeurs de solidarité et de justice sociale, deux piliers essentiels pour garantir la cohésion et l’équité au sein d'un pays, et ce quel que soit son secteur d'activité ou son orientation politique gauche/droite.

Son attachement à ces valeurs s’est renforcé au fil de ses expériences humaines et professionnelles, notamment à partir de 2002, lorsqu’il a commencé à se heurter au double discours de certains responsables d’organismes de Sécurité sociale et acteurs politiques.

En effet, lorsque Gérald a créé sa première innovation en prévention dentaire au début des années 2000, il a été confronté à un (prétendu) partenaire qui se présentait comme un allié dans la lutte contre les maladies dentaires en France, mais qui s'est révélé être un (vrai) concurrent direct. Grâce à son influence politique, ce dernier a alors réussi à bloquer cette première innovation, et d'autres qui ont suivi, afin d'éliminer un rival engagé pour la santé bucco-dentaire des Français. Gérald a bien tenté de s'extraire de ce blocage en sollicitant, entre autres, l'aide de gestionnaires de l'Assurance Maladie et de politiques. Mais à sa grande déception, pour ne pas dire surprise, ces derniers l'ont, à leur tour, trahi, préférant protéger leurs relations fraternelles avec ce concurrent.

Face à ces trahisons, et à un système judiciaire mal armé (à l'époque) pour lutter contre " la délinquance en col blanc ", Gérald a alors entreprit une analyse approfondie des mécanismes du pouvoir caché en France, souvent désignés sous l'expression " État profond " popularisée par Emmanuel Macron
en 2019, et qui se résume ainsi : " un pouvoir invisible, non détectable parmi les institutions légales et légitimes de la République, mais qui pèse sur les grandes décisions politiques et le fonctionnement sociétal. " Son objectif : comprendre les rouages de l’influence dans ce qu’on appelle la démocratie en santé, incarnée en France par la Conférence nationale de santé (CNS), créée en 1996.

En s’introduisant discrètement, pendant plusieurs années, dans les rouages du milieu de l’influence politique, notamment en se rapprochant de certains co-auteurs des lois françaises ...
un exemple, Gérald a pu découvrir les coulisses de la trahison et du chantage en politique, mais aussi de nombreuses techniques surprenantes pour un citoyen croyant jusqu'alors au principe républicain : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Comme par exemple, la méthode utilisée pour orienter les recommandations du rapport sur le dentaire rendu en 2010 par un groupe de travail au sein de la Haute Autorité de Santé (HAS). La même qui a été utilisée pour orienter celles du rapport sur le dentaire rendu en 2024 par un groupe de travail au sein de la CNS.

D'où cette question :

La santé bucco-dentaire des Français,
en particulier issus des classes populaires, est-elle sacrifiée depuis plus de 40 ans pour développer le business du chewing-gum sans sucres dans l'Hexagone et protéger les milliards € de chiffre d'affaires liés aux maladies bucco-dentaires ?

La réponse est malheureusement oui, et il est grand temps que ce sacrifice honteux soit dévoilé publiquement, preuves à l'appui, pour enfin développer en France une stratégie de prévention dentaire digne de ce nom, sans conflit d'intérêts avec les (assurés sociaux) Français.

C'est dans ce contexte très particulier que GRinsurance voit le jour.  

LES DÉBUTS : LA NAÏVETÉ DU CITOYEN ENGAGÉ

En 2002, à 26 ans, Gérald identifie le besoin grandissant de se brosser les dents en dehors du foyer, avec le développement croissant de la
restauration hors domicile (RHD). Inspiré par la sanisette conçue par Jean-Claude Decaux, il invente un mobilier urbain innovant dédié à l’hygiène dentaire - une première mondiale - et fonde l’association Point Dentaire pour promouvoir ce projet en France. (cf. article de presse)

Malgré l’enthousiasme du grand public pour cette innovation sociale - 61% des Français souhaitaient déjà à l'époque garder leurs dents naturelles toute leur vie, tandis que 73% exprimaient le besoin de pouvoir se brosser les dents n'importe où et n'importe quand dans la journée 1, Gérald était loin d'imaginer les nombreux obstacles - administratifs, politiques et financiers - qui allaient bientôt surgir sur son chemin à cause du capitalisme de connivence enraciné dans le secteur dentaire français depuis les années 80.

C'EST DE LA CONFIANCE QUE NAÎT LA TRAHISON

Sans entrer ici dans le détail d'informations confidentielles, Gérald n'a jamais pu développer son mobilier urbain en France pour diverses raisons, ni pu être candidat ces 20 dernières années avec ses solutions innovantes aux appels d'offres de prévention dentaire lancés chaque année par l'Assurance Maladie, malgré un cadre juridique strict que les dirigeants d'organismes de Sécurité sociale sont censés respecter pour garantir l’impartialité dans leurs processus d'achats, y compris lorsqu'il est question de
soutenir les entreprises innovantes. 2

Pendant longtemps, Gérald a refusé de croire qu'une caste au sein de l'administration française, positionnée à différents niveaux sans lien direct apparent entre ses membres, puisse agir de manière coordonnée contre les intérêts des Français. Cette conviction était d'autant plus forte que certains membres de cette élite ont été remplacés au fil du temps depuis 2002, année où Gérald a commencé à s’intéresser au cercle de l'influence politique. Cependant, après des années d'expérience et l'obtention de preuves tangibles, Gérald a dû se rendre à l'évidence : l'influence des lobbys en France dépasse tout ce qu’il avait pu imaginer, avant d'être être confronté à cette réalité, sur le sujet des conflits d'intérêts et des
atteintes à la probité.

Dans le secteur dentaire, cette influence s'est traduite jusqu'à présent par le verrouillage en France du marché de la promotion de la santé bucco-dentaire, aussi appelé marché de la prévention dentaire primaire par les initiés, au profit d'un groupe privé constitué de plus d'une centaine d'associations. Cette situation de quasi-monopole a été rendue possible grâce à une stratégie sophistiquée de Cheval de Troie, visant à asphyxier financièrement les concurrents de ce groupe, qu'ils soient déjà établis ou nouveaux entrants, afin d'étouffer (dans l’œuf) toute concurrence sérieuse et innovante sur ce marché. L'objectif avoué en off, c'est qu'aucune innovation sérieuse destinée à ce marché ne dépasse la vallée de la mort, afin de protéger les milliards € de chiffre d'affaires effectués grâce à une mauvaise santé bucco-dentaire des Français.

Une protection relativement facile lorsqu'un lobby a la possibilité d'influencer ou de bloquer sur le marché hexagonal de la prévention dentaire primaire les procédures dites de pre-commercial procurement (PCP) ou d'achats publics avant commercialisation (APAC) 2, notamment en plaçant des complices à des postes stratégiques au sein même de l’administration. Sans oublier l'utilisation des
petites mains de la république si nécessaire.

Ce verrouillage est tellement sournois et indétectable sans certaines connaissances, que son impact sur le secteur de l'assurance est mécanique et colossal en France, puisque les assureurs (Sociétés d'assurance, Mutuelles, Institutions de prévoyance) sont devenus, depuis 2008, les 1er financeurs des soins dentaires sur le territoire national, avec une dépense annuelle de plus de 6,8 milliards €, sur une facture totale de 15,5 milliards € selon l' édition 2024 des comptes nationaux de la santé.

Un chiffre qui ne cesse d'augmenter chaque année au détriment de la santé et du pouvoir d'achat des Français, alors que les maladies bucco-dentaires sont
en grande partie évitables avec des solutions simples et efficaces.

UNE VÉRITÉ CACHÉE AUX FRANÇAIS DEPUIS PLUS DE 40 ANS

Un proverbe africain dit : " Quand le mensonge prend l'ascenseur, la vérité prend l'escalier. Même si elle met plus de temps, la vérité finit toujours par arriver ! ".

Lorsque vous êtes victime du capitalisme de connivence, que ce soit en tant qu'entrepreneur ou simple citoyen, il est rare d'en prendre conscience immédiatement. Cette prise de conscience n'intervient souvent que des années plus tard, et de façon fragmentée au départ quand vous commencez à chercher la vérité. (Voir à ce sujet le témoignage d'un autre dirigeant d’entreprise français :
Le capitalisme de connivence vu de l'intérieur)

C’est précisément ce qui est arrivé à Gérald. Dès 2002, peu après la création de l’association Point Dentaire, il a été rapidement la cible d'une stratégie d'
espionnage industriel et de connivence très sophistiquée.

Tellement sophistiquée, qu'il a fallu à Gérald une patience et une persévérance extraordinaires pour reconstituer les faits et collecter des preuves irréfutables, une fois qu’il avait compris l’ampleur du piège dans lequel il était tombé.

Parmi ces preuves, la plus parlante au sens propre du terme est
ce podcast réalisé en 2021, qu'il a découvert tout à fait par hasard en 2023, dans lequel son principal concurrent français explique tranquillement, avec force de détails pendant plus de 2 heures, l’étendue de son influence sur la politique de prévention dentaire menée jusqu'à présent en France, mais aussi à l’international.

Pour Gérald, cette découverte, plus de 20 ans après avoir créé l'association Point Dentaire, avait malgré tout un goût amer, car il avait eu raison de penser que :

1. C'ÉTAIT BIZARRE QUE DES DENTISTES SOIENT CONTRE LE BROSSAGE DENTAIRE ... HORS DOMICILE

En effet, ce n'était pas un hasard si certains chirurgiens-dentistes étaient hostiles, dès qu'ils en ont entendu parler, envers le mobilier urbain 100% Français dédié à l'hygiène dentaire, ou
sa version boutique, d'autant qu'en 2013 ces personnes ont décidé (bizarrement) de recommander aux Français 2 brossages dentaires par jour au lieu de 3.

Et pour cause, grâce au podcast, on connait désormais les détails précis du pacte financier et commercial conclu entre ce concurrent influent, l'association de dentistes dont il a pris (opportunément) la direction à partir de 1981 (cf.
podcast à partir de 38 minutes) et un fabricant international de chewing-gum sans-sucres, sachant que les dentistes responsables ont toujours été vent debout contre cette surprenante recommandation qui cachée en réalité ce deal commercial.

La vérité, c'est que le développement en France, dès 2002, d'une véritable solution innovante pour se brosser les dents hors domicile aurait dérangé ce pacte commercial conclu dans les années 80, du moins dérangé le discours consistant à dire aux 83% des Français qui ne se brossent pas les dents à midi :
Au travail, en déplacement, lorsque l'on n'a pas la possibilité de se brosser les dents, le chewing-gum sans sucres est une solution simple et efficace pour une meilleure hygiène bucco-dentaire.  

Maintenant que ce pacte est connu, et surtout la stratégie qui a été utilisée pendant 2 ans " pour s'attaquer aux dentistes avant de s'attaquer au marché du grand public " (cf.
podcast à partir de 58 minutes), les dentistes français devraient désormais réfléchir à deux fois avant de parlez du chewing-gum sans sucres avec leurs patients. Ne serait-ce que par respect au code de la santé publique qui interdit aux chirurgiens-dentistes de faire toute publicité, toute réclame personnelle ou intéressant un tiers ou une firme quelconque.

2. C'ÉTAIT BIZARRE QUE CE SOIT TOUJOURS LE MÊME CANDIDAT QUI REMPORTE LES APPELS D'OFFRES DE PRÉVENTION DENTAIRE DE L' ASSURANCE MALADIE

En effet, ce n'était pas un hasard si un candidat était quasiment le seul, encore aujourd'hui, à pouvoir vendre la solution imposée aux candidats potentiels dans les appels d'offres de prévention dentaire lancés chaque année par l'Assurance Maladie
depuis 2004.

Et pour cause, on sait désormais que cette solution a été inventée dans les années 80 par le président (influent) de ce candidat, comme il l'explique clairement dans
le podcast (à partir de 43 minutes), et c'est la seule solution à pouvoir répondre précisément aux besoins détaillés dans le cahier des charges national technique (CCTP en jargon administratif) rédigé par les dirigeants de l'échelon stratégique & décisionnaire de l’Assurance Maladie (la Caisse Nationale d'Assurance Maladie CNAM) à destination des dirigeants de l'échelon opérationnel, les 102 caisses primaires d'Assurance Maladie (CPAM) qui sont chargées d'acheter chaque année cette solution dans leur localité (un exemple d'appel d'offres avec les CPAM de SEINE-ET-MARNE et de l' AISNE).

La vérité, c'est qu'il existe aujourd'hui assez d'indices graves ET concordants pour dire qu'un concurrent a été favorisé jusqu'à maintenant, grâce à l'influence de son président, par certains dirigeants de l'Assurance Maladie, en bénéficiant d'un CCTP sur mesure, pour ne pas dire verrouiller depuis 2004 pour
être protégé de ses concurrents, afin que les CPAM puissent lui acheter, pour plusieurs millions € chaque année, uniquement sa solution.

LA CONFIANCE DU PEUPLE FRANÇAIS SE RESPECTE ...

À ce propos, vu qu'on est en présence d'argent public, et pas qu'un peu, qu'est-ce qui pousse certains dirigeants de l'Assurance Maladie, mis à part soutenir financièrement la solution d'un candidat influent, de continuer à dépenser jusqu'en 2027, si l'on en croit la
COG ETAT CNAM 2023-2027 et la version 2024/2025 du CCTP, des millions € dans des appels d'offres pour acheter une solution préventive dans les écoles qui peut désormais être fournie gratuitement, depuis 2018, par les 50 000 étudiants en santé, dans le cadre du nouveau service sanitaire des étudiants en santé (S.S.E.S) obligatoire pour l'obtention de leur diplôme ? 4

Même si cette gratuité ne changerait rien au fait que des retours d’expériences (retex) négatifs sont largement documentés, tant pour cette solution dans les écoles 5 que pour d'autres, depuis plusieurs années à l'international. (cf.
article de presse ou cette diapositive)

Surtout qu'il est conseillé, également depuis 2018, aux acheteurs des organismes de Sécurité sociale de réaliser un sourcing, conformément à l'
Article R2111-1 du code de la commande publique, en sollicitant au moins deux, voire trois, opérateurs, afin d'éviter de se trouver influencés par les informations recueillies et de restreindre la concurrence du fait d'une rédaction " trop fermée " du cahier des charges (...) et que Afin de permettre aux opérateurs économiques de proposer des solutions innovantes, les organismes de Sécurité sociale ont tout intérêt à exprimer leurs besoins en termes de performances ou d'exigences fonctionnelles, ce qui permet de laisser l’initiative aux candidats sur les modalités techniques de la solution. (cf. Guide de la CCMOSS qui est rattachée à l' UCANSS).

Dit autrement, faire un CCTP fonctionnel, conformément à l'
Article R2111-8 du ccp, et en finir avec cette vieille pratique du cahier des charges cramponné à la description des moyens ou de la solution attendue, qui en règle générale a pour objectif de favoriser un candidat en particulier.

Sans parler du sujet de porter atteinte aux principes d'égalité, d'efficacité de la commande publique et de la bonne gestion des deniers publics, imposé par l'
Article L3 du ccp, dès lors que des nouveaux entrants (F5 - F6) sont présents sur le marché avec des solutions alternatives innovantes beaucoup plus pertinentes pour les intérêts de l'Assurance Maladie et ceux des (assurés) Français.

... MAIS ELLE SE MÉRITE AVANT TOUT !

Bref, avec ce podcast, Gérald avait enfin une preuve tangible, diffusable à l'ensemble des Français, que c'était bien un système de connivence qui empêchait, depuis les années 80, l’émergence de nouveaux entrants innovants sur le marché français de la prévention dentaire primaire.

D'ailleurs, des rapports de la
Cour des comptes et de l’ Igas avaient déjà diffusé des éléments sérieux sur cette connivence qui protège depuis des décennies d'importants intérêts financiers au détriment des Français :

- des marchés publics verrouillés avec une concurrence
quasi inexistante ;
- un concurrent qui devient opportunément conseiller du ministre de la santé
de 2005 à 2007 au moment où ce ministre à la responsabilité de préparer le 1er plan national de prévention dentaire, et les appels d'offres en la matière passés chaque année par l'Assurance Maladie ;
- des
lobbyistes très influents auprès des pouvoirs publics français et des institutions de l'Union européenne au service des intérêts de la profession des chirurgiens-dentistes, mais aussi au service des industriels du sucre qui ont conçu et promu le projet 269 durant les années 60 et 70 afin d'entraver le programme de lutte contre les caries aux États-Unis, et probablement dans d'autres pays, sachant que la France est le premier producteur européen de sucre. D'ailleurs, à qui appartiennent aujourd'hui les plus grandes marques mondiales de chewing-gum sans sucres ?

En d'autres termes, certains lobbys voudraient piétiner la
Santé Publique Orale en France pour protéger leurs milliards € de chiffre d'affaires produits grâce à une mauvaise santé bucco-dentaire des Français, qu'ils ne s'y prendraient pas autrement en influençant discrètement la politique de prévention dentaire menée sur le territoire national, notamment en fournissant aux pouvoirs publics et à l'Assurance Maladie des solutions préventives clés en main qu'ils savent parfaitement inefficaces.

RÉSISTANCE & DÉTERMINATION

Face à cette situation, et à la pression des lobbys impliqués pour qu'il abandonne, Gérald n'a jamais baissé les bras, bien au contraire, sachant au fond de lui qu’un changement profond en prévention dentaire était non seulement possible en France, mais surtout nécessaire dans l'intérêt du peuple français, dont il fait partie avant tout.

C'est pourquoi, en découvrant également que les assureurs investissaient peu sur le territoire national en prévention santé primaire, pour des raisons de contraintes législatives et concurrentielles 6, et sachant depuis 2006 qu'
un plan d'action mondial pour la promotion de la santé bucco-dentaire était en préparation, ce qui allait clairement rebattre les cartes sur ce marché en France, Gérald se tourne vers le secteur de l'assurance pour se former (en 2014) au métier de courtier et commencer à prendre de l’expérience sur le marché du courtage en assurance, ayant une idée en tête pour amorcer ce changement profond.  

Cette étape était cruciale dans son esprit, car il entrevoyait déjà une stratégie inédite de contourner l’emprise de puissants lobbys sur la politique de prévention dentaire menée en France, d'autant qu'il n'avait pas vraiment le choix s'il souhaitait poursuivre son engagement pour
cet enjeu de santé publique mondial, étant donné que le chiffre d'affaires du marché de la prévention dentaire primaire repose quasi exclusivement en France sur les subventions ou les commandes publiques de l'Assurance Maladie. 7

UNE STRATÉGIE DE CONTOURNEMENT

À partir d'une feuille blanche, Gérald imagine les fondations d'un nouveau marché, indépendant de l’Assurance Maladie, avec l'objectif cette fois-ci de prendre les Français à témoin sur le double discours de certains acteurs publics & privés au sujet de la prévention dentaire.

Autrement dit, prendre certains lobbys et leurs soutiens publics à leur propre piège d'influence devant l'opinion publique française.

S'ensuit un long processus de recherche & développement (R&D), accompagné d'une phase expérimentale, financée à 100% sur fonds propres, durant laquelle Gérald a pu tester, en conditions réelles, certains éléments de sa
stratégie Océan bleu, ainsi que différentes innovations.

LA NAISSANCE DE GRINSURANCE

Amorcée en 2025 à Lille, GRinsurance repose sur un modèle économique disruptif alliant prévention dentaire et courtage en assurance.

Notre mission ? Redéfinir les frontières de ces deux marchés en investissant sérieusement dans la prévention dentaire primaire.

Grâce à des solutions innovantes sans conflits d'intérêts avec nos clients et nos partenaires assureurs, notre objectif est de :

- Réduire les maladies bucco-dentaires et les maladies non transmissibles (MNT) associées ; 8

- Diminuer durablement les dépenses de santé curatives liées à ces maladies qui s’élèvent à plusieurs milliards € chaque année.

Les économies ainsi réalisées permettent à GRinsurance de proposer des produits d’assurance à des prix plus compétitifs, pour le bénéfice direct de nos clients.

LE CONTEXTE DENTAIRE & ASSURANTIEL EN FRANCE

Plus de 83 % des soins dentaires consommés en France sont financés par l'intermédiaire de l’Assurance Maladie et des assureurs, via le marché de la complémentaire santé. Depuis la réforme du  reste à charge zéro (RAC 0) mise en place en 2020, les soins prothétiques du
panier 100% santé sont entièrement gratuits pour tous les assurés français, sachant que l'ensemble des soins conservateurs sont gratuits depuis 1989. 3

Cependant, malgré cette gratuité, le constat reste accablant :

-
Sur les 2 dernières années, 54% des Français n'ont pas consulté de dentiste, dont 75% des 20-30 ans ;

- Les maladies bucco-dentaires continuent de croître sans discontinuer, entraînant des dépenses de santé toujours plus élevées chaque année pour les Français.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : entre
2000 et 2023, le chiffre d'affaires des chirurgiens-dentistes a plus que doublé en France, atteignant aujourd'hui près de 15,5 milliards €, dont plus de 7 milliards € uniquement pour la vente de prothèses dentaires. Ce montant équivaut au chiffre d'affaires total des chirurgiens-dentistes en 2001.

Ces chiffres prouvent, s'il le fallait, que les solutions préventives développées jusqu'à présent dans l'Hexagone, tels que le programme M’T dents lancé dans les années 80 9, sont aujourd’hui obsolètes ou inefficaces. Et ce, malgré un financement annuel de près de 100 millions € confiés chaque année par les (contribuables) Français à l'Assurance Maladie pour financer ces solutions.

En clair, l'explosion des soins dentaires en France, particulièrement prothétiques, sont la conséquence directe, pour ne pas dire le résultat d'une stratégie de prévention dentaire inefficace, alimentée par un sous investissement chronique de la part de l'Assurance Maladie en prévention primaire ! (CQFD)

D'ailleurs, l'association LA DENT BLEUE, créée par des patients
victimes du secteur dentaire (cf. reportage : Dentexia le scandale des sans dents), résume parfaitement bien ce contexte français dans sa note de position de 2024 en ces termes :

" Le secteur dentaire français souffre d’un sous-investissement en prévention dentaire primaire et du manque d’efficacité des campagnes engagées jusqu’à présent (les injonctions et discours moralisateurs ne touchent pas leur cible, comme en attestent les nombreux étudiants qui n’appliquent pas, une fois autonomes, les recommandations acquises pendant leur scolarité). Il est par ailleurs fréquent de confondre les investissements préventifs de niveau primaire (éducation, information, coaching, etc.), avec les dépenses préventives de niveaux secondaire et tertiaire (soins dentaires). Or, les investissements manquent aujourd'hui en France, alors que les dépenses en soins dentaires se sont accrues, surtout pour les prothèses. Sans investissements en prévention dentaire primaire, les dépenses en prévention secondaire et tertiaire sont assurées de se développer chaque année. "
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UNE AMBITION MONDIALE

Après avoir consolidé ses bases en France, GRinsurance entend s’étendre à l’international en alignant son développement sur le
Plan d’action mondial pour la santé bucco-dentaire (2023-2030) lancé sous l'égide de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), qui met en avant l’importance de développer une prévention efficace dans le monde entier afin de réduire durablement les " Coûts sociaux, économiques et environnementaux des problèmes de santé bucco-dentaire. ".

Notre ambition est claire : transformer la prévention dentaire et le courtage en assurance à l’échelle mondiale.

Grâce à cette vision, nous souhaitons améliorer la santé et le sourire du plus grand nombre possible, partout dans le monde !

1. Étude GSK SGP/Ifop réalisée en mai 2008 auprès d'un échantillon de 1028 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.
2
Rappel du cadre juridique en France sur les règles de la commande publique, et l'achat public innovant dont la législation a beaucoup évolué ces 10 dernières années.
3. Depuis
la loi Évin de 1989, les gouvernements et parlementaires successifs ont progressivement voté des réformes qui permettent aujourd'hui à tous les assurés français d'accéder aux soins dentaires sans avoir à payer de dépenses directes, avec comme point culminant la réforme 100% santé dentaire. Concrètement, que ce soit pour des consultations chez un chirurgien-dentiste ou des soins dentaires conservateurs ou prothétiques, toutes ces prestations médicales sont majoritairement gratuites à ce jour dans l'Hexagone, car elles sont remboursées intégralement (sans reste à charge) par l'Assurance Maladie (communément appelée la " Sécu ") et les assureurs (Sociétés d'assurance, Mutuelles, Institutions de prévoyance) par l'intermédiaire du marché de la complémentaire santé (communément appelée la " Mutuelle ") qui couvre 96% de la population française, et même 100% avec la complémentaire santé solidaire (ex CMU-C). Sachant que le Tiers payant total est en cours de généralisation pour l'ensemble de la population, grâce au déploiement de solutions logicielles permettant " la dispense d'avance de frais en 3 clics ", comme l'indique un communiqué de presse de toutes les parties prenantes à ce projet.
4. Voici des exemples d'
appels d'offres à destination de ces étudiants pour faire la promotion de la santé bucco-dentaire dans les écoles.
5. Et pour cause, il est difficile d'imaginer qu'un enfant, après une simple action préventive en milieu scolaire, puisse adopter durablement un comportement conforme
aux conseils émis par le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) en matière de prévention dentaire primaire, si, dans le même temps, ses parents ne sont pas incités à suivre ces conseils eux-mêmes. Qui peut croire qu'un enfant de 3 ans maîtrisera seul les fondamentaux d'une bonne hygiène bucco-dentaire de façon durable ? Ou qu'un enfant de 12 ans prendra seul rendez-vous chez un chirurgien-dentiste pour réaliser un dépistage précoce d'une carie ? D'où la nécessité de cibler d'abord ou également les adultes en général, et les parents en particulier dans une stratégie de prévention dentaire digne de ce nom, car c'est indispensable pour pouvoir agir durablement auprès des enfants. Autrement dit, en prenant le temps d'analyser l'origine réelle d'un problème, en investissant dans le processus de l'analyse des causes racines (ACR, en anglais : Root Cause Analysis RCA), il est possible de régler celui-ci définitivement en finançant une solution pérenne plutôt que de financer une solution provisoire.  
6. De façon générale, les assureurs investissent peu d'argent dans l'Hexagone en prévention santé primaire par crainte de ne pas pouvoir rentabiliser leurs investissements, selon les propos de certains dirigeants du secteur interrogés à ce sujet. Cette crainte s'est même renforcée
depuis le 1er décembre 2020, date à laquelle les assurés français peuvent désormais changer leur complémentaire santé sans frais ni délais après la première année. Et pour cause, un assureur qui investirait de l'argent en prévention primaire pour un assuré susceptible de changer de complémentaire santé (la " Mutuelle " en langage courant) après la première année, risque au mieux de perdre de l'argent si l'assuré change de Mutuelle au bout d'un an, au pire d'avoir investi au bénéfice d'un concurrent qui vendrait une nouvelle Mutuelle à cet assuré dans le cadre de la résiliation infra-annuelle (RIA), qui concerne aussi bien les contrats individuels que collectifs (mutuelle d'entreprise). Du moins, pendant la période de rétention nécessaire pour que le premier assureur puisse rentabiliser son investissement. Par conséquent, en l'état actuel de la législation française, on peut comprendre que beaucoup d'assureurs soient réticents à investir en direct sur le territoire national dans des solutions pertinentes de prévention primaire, que ce soit en dentaire ou même pour d'autres affections, car ces solutions demandent souvent d'investir des sommes importantes dès le départ pour espérer obtenir des résultats significatifs dès les premières années.
7. En effet, la gestion du budget de la Nation consacré à la prévention dentaire ayant été confiée à la CNAM par le biais du
Fonds National de Prévention (FNPEIS), sans subventions ou commandes publiques émanant de l'Assurance Maladie, il est extrêmement difficile, voire impossible, pour un nouvel entrant spécialisé uniquement dans la prévention dentaire primaire, de survivre financièrement dans l'Hexagone.
8. Plusieurs études confirment une association bidirectionnelle entre les maladies bucco-dentaires, notamment la carie dentaire et les maladies parodontales, et les maladies systémiques non transmissibles (MNT). Parmi ces MNT, on compte : différents types de cancer, le diabète sucré, les maladies cardiovasculaires, la dépression, les affections neurodégénératives, les maladies rhumatismales, les maladies inflammatoires de l'intestin, l'obésité, l'asthme etc. (liste non exhaustive). Selon un article paru dans DENTAL TRIBUNE :
Le  traitement parodontal pourrait réduire jusqu´à 5000 dollars les frais des patients . Plus d'infos : Diagramme de la santé du corps humain conçu par la FDI avec le soutien de Colgate : https://whole-body-health.fdiworlddental.org/fr/
9. Le programme M'T dents est une solution préventive en 2 parties créée par un concurrent au début des années 80 (cf.
podcast) : une première partie, le volet prévention primaire, qui sont des actions de communication et d'éducation effectuées dans le cadre d'appels d'offres publics de prévention dentaire lancés chaque année par l'Assurance Maladie pour faire connaître auprès des publics cibles, que sont les jeunes de 3 à 24 ans et les femmes enceintes, la seconde partie, le volet prévention secondaire, que sont les dépistages et soins dentaires offerts gratuitement.